Le drame intervient en pleine campagne électorale et a occasionné une passe d’armes entre Giorgia Meloni (Fratelli d’Italia) et Enrico Letta (Parti Démocrate).
Lundi 22 août, une femme de 55 ans d’origine ukrainienne a été vi0lée dans la ville de Piacenza (Emilie-Romagne) par un demandeur d’asile de 27 ans originaire de Guinée. Un drame médiatisé qui électrise une campagne électorale déjà tendue pour les élections législatives du 25 septembre prochain.
Les faits se seraient déroulés à l’aube, selon Il Giornale et d’autres médias italiens. La victime aurait été vi0lemment frappée puis jetée au sol, avant que son bourreau ne la vi0le en pleine rue. Un habitant aurait appelé la police après avoir entendu les appels à l’aide de la femme. L’agresseur aurait été interpellé et placé en prison, tandis que la victime serait actuellement hospitalisée, en état de choc.
Dans la foulée de la médiatisation de l’agression, la candidate de Fratelli d’Italia Giorgia Meloni a dénoncé le laxisme de l’État italien dans une déclaration sur les réseaux sociaux : « Nous ne pouvons pas rester silencieux face à cet épisode atroce de vi0lences se*uelles à l’encontre d’une Ukrainienne perpétrée dans la journée à Piacenza par un demandeur d’asile. Une accolade pour cette femme, à qui notre société n’a pas pu garantir la sécurité à laquelle elle avait droit. Au nom des institutions italiennes, je m’excuse. La lutte contre la dégradation, l’illégalité généralisée, l’immigration clandestine massive ne sont pas des concepts abstraits, ils concernent le quotidien de chacun d’entre nous et surtout des plus fragiles. Je ferai tout mon possible pour rétablir la sécurité dans nos villes », a-t-elle promis… lisez l’intégralité sur le FIGARO
